Alexandre Barberà-Ivanoff

Selon moi, l'art doit révéler les liens invisibles qui donnent un sens, une unité plus profonde à notre réalité.

Biographie

" J'ai choisi d'exprimer mes pensées et mes sentiments à travers la peinture figurative. 

" Cet art est pour moi le meilleur moyen de communiquer de manière universelle, de plus je n'ai aucune capacité naturelle pour la danse ou la musique... 

" Mes origines russes et espagnoles ont certainement contribué à ma façon de ressentir. Mais c'est dans l'équilibre de la culture française que ma vision du monde s'est définitivement formée. 

" Selon moi, l'art doit révéler les liens invisibles qui donnent un sens, une unité plus profonde à notre réalité. Mais si l'impact de l'art peut être fort, pertinent et intelligent, voire dérangeant, c'est toujours par l'usage du beau qu'il se caractérise. 

" Par exemple, en me tournant vers ce que je considère comme élégant, l'harmonie des contraires, fixe et mobile, clair et sombre, coloré et unifié, féminin et masculin. 

" Mes influences viennent de toutes les époques et de toutes les cultures dans la mesure où je trouve de la poésie dans une œuvre ; cette œuvre devient intemporelle. 

" Cependant, j'ai une affinité particulière pour le maniérisme italien, le baroque espagnol et les dragons chinois. J'ai aussi une forte aversion pour la peinture photographique strictement réaliste, ou les courants à la mode comme ceux en grands formats et couleurs vives par exemple. 

" Pour cela je cherche par tous les moyens possibles à échapper à la vulgarité ou à l'effet facile. Je pense être le fruit de toutes sortes d'influences européennes au sens très large ; latin, batave, anglo-saxon, germanique et slave. "

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Alexandre Barberà-Ivanoff est d'origine russe par sa mère et espagnole par son père, danseur au Moulin Rouge.

Il étudie la peinture dès 1985 auprès des peintres Christian Welter, puis Gérard Di-Maccio et Jean Bertholle. Il est copiste au musée du Louvre, avant d'officier au service national comme Peintre de l'Armée de terre.

En 2001, il peint des fresques au palais du roi Mohammed VI à Marrakech (Maroc).

De 2005 à 2007, nombre de ses toiles sont exposées à Saint-Malo, à l'hôtel d'Asfeld, au Fort national, ainsi qu'aux casinos de Saint-Malo et de Dinard.

Le 9 septembre 2005, Alexandre Barberà-Ivanoff rend public son Manifeste sur l'essentialisme artistique.

Ses principales œuvres ont été exposées en mars 2008 à la "Maison consulaire" de Saint-Leu-la-Forêt, et en juin 2010 au Parlement européen de Strasbourg.

Au printemps 2015, il participe en Italie, avec quatre autres peintres européens, à l'élaboration des 25 tableaux qui sont exposés de manière permanente dans le centre-ville de Cosenza. Ces œuvres de 2 × 3 m représentent les différentes périodes de l'histoire de la ville.

Alexandre Barberà-Ivanoff est l'expert officiel de l’œuvre de son grand-père Serge Ivanoff.

Alexandre Barberà-Ivanoff

L'artiste au travail

Cote de l'artiste certifiée: Les travaux de Alexandre Barberà-Ivanoff ont été évalués par un expert indépendant.


Certification 2021 : 6 500,00 €
La certification a été établie par Jacques-Armand Akoun le 18 juin 2021.
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